Moi aussi je suis une humaine

Moi aussi je suis une humaine

Moi aussi j’ai des doutes

Moi aussi j’ai parfois des douleurs physiques

Moi aussi, il m’arrive de me sentir mal …

Qu’est-ce que je fais dans ces moments-là ?

Explication émotionnelle ou dérive du chemin qu'on s'était fixé

Tout d’abord je sais qu’il y a toujours une explication ou émotionnelle, ou de dérive du chemin que je m’étais fixé avant d’incarner. Quand on dit, c’est le destin, cela signifie qu’on a tous décider de situations et émotions à expérimenter sur la terre avant de s’incarner, on les a écrits comme un contrat qu’on se fixe avec soi-même.

Alors, je me mets à chercher. Je me mets en méditation, c’est-à-dire que je me connecte à mon intuition, j’interroge ma conscience. Je finis plus ou moins vite à trouver les émotions sous-jacentes et à libérer les mémoires. Je finis plus ou moins vite à comprendre et surtout accepter pourquoi j’ai dévié du chemin … Après tout, je vis comme une humaine, avec le mental qui est présent et qui continue à me mentir, avec ma personnalité actuelle pourvue d’un certain ego qu’il faut dépasser tout en continuant à vivre dans cette société où pour vivre et exister, il faut satisfaire certains critères et réussir à s’imposer.

Un peu de moi ...

Je n’ai pas eu l’habitude de livrer ce que je ressentais, car j’ai toujours pensé que cela n’intéressait personne. J’ai toujours eu cette impression d’être insignifiante, inintéressante et qu’il fallait ne surtout pas déranger les autres avec mes ressentis, mes émotions. Alors j’ai œuvré en silence, comme si je devais me cacher et en parlant tout bas. A l’origine de ce comportement, se trouvent des mémoires de rejet, de non acceptation, d’abandon dans mes deux lignées, maternelle et paternelle. J’ai donc travaillé sur ces mémoires, à de nombreuses reprises, car il fallait y aller par petites touches et surtout parce que de nombreuses lignes de temps étaient impliquées, de nombreuses émotions étaient imbriquées, qu’il fallait explorer pour libérer et transmuter.

Prendre conscience

Ensuite, il a fallu prendre conscience de qui j’étais, de ce dont j’étais capable, et de ce que j’étais venu faire sur terre. Cette étape aussi m’a pris du temps. Je ne suis pas née en sachant qui j’étais. J’ai longtemps cherché à savoir qui j’étais, quasiment durant 50 ans, poussée par une force invisible qui m’a mené vers l’exploration de la métaphysique.

Libérer les âmes de leurs blessure

C’est grâce aux retours des autres que j’ai pu prendre conscience que je pouvais libérer l’âme de ses blessures. Je m’arrête sur ces mots « libérer l’âme de ses blessures » pour que toi, cher lecteur, tu puisses en prendre toute la mesure. Ce ne sont pas des simples mots. Derrière ces blessures se cachent de nombreux symptômes comme les crises de panique, les burn out, le stress, l’anxiété, mais aussi des douleurs physiques invalidantes, des comportements héréditaires …la liste est longue. Je ne m’étais pas rendu compte que peu de personnes pouvaient voir les états d’âmes et surtout libérer les blocages. Je le faisais si naturellement, cela faisait tellement partie de moi que je pensais que d’autres pouvaient aussi le faire.

Pourquoi avoir cette faculté si je ne pouvais l’exploiter pour aider ?

Quand j’ai découvert que je pouvais lire les états d’âmes, en fermant les yeux, je voyais ce que ressentaient les personnes physiquement proches ou à des milliers de kilomètres, la distance n’avait aucune importance quant à ma lecture ; je ne savais pas quoi en faire, j’en étais d’ailleurs fâchée. Pourquoi avoir cette faculté si je ne pouvais l’exploiter pour aider ?

J’ai continué à explorer. J’ai découvert la méthode Yuen, la lecture des registres akashiques et des personnes en Amérique Latine qui étaient venues avec la conscience ouverte et qui expliquaient la cosmogénèse. Cela m’a permis de mettre des mots sur ce que je faisais moi-même, sur ce que je voyais, ressentais. Alors, toutes les pièces de mon puzzle se sont assemblées et j’ai accepté de devenir visible car je comprenais qui j’étais, une énergie infiniment puissante dans un corps suffisant fort pour soutenir mon énergie, avec une personnalité forte pour ouvrir les portes et suffisamment pugnace pour avancer à l’aveugle.

Naissance de la Technique KA Edissaec

Et c’est à partir de ce moment que la Technique Ka Edissaec est née, Edissaec étant mon nom cosmique, et « KA » étant l’énergie que j’utilise, plus rapide que l’énergie KI.